FNB d’ARK

BMO ARK Fonds révolution génomique Série FNB - ARKG

Commentaire trimestriel T1 2024

28 mai 2024

Les indices boursiers mondiaux généraux1 se sont appréciés au premier trimestre, malgré la baisse du nombre de réductions de taux de la Réserve fédérale américaine (Fed) prévues en 2024. Fait important, la Fed a annoncé que les gains réalisés dans le secteur de l’emploi ne feraient pas dérailler la baisse des taux d’intérêt et que l’inflation est un indicateur beaucoup plus déterminant pour la politique monétaire. Alors que les analystes s’attendent à un atterrissage en douceur, ARK prévoit toujours que la perte de pouvoir de fixation des prix forcera les sociétés à réduire leur effectif et entraînera un atterrissage plus difficile que prévu. En effet, l’économie américaine semble touchée par une récession mouvante, affaiblissant des secteurs comme ceux de l’habitation, de l’automobile et de l’immobilier commercial, alors que les stocks continuent de croître. En réponse à cette conjoncture, la croissance éventuelle des cinq plateformes d’innovation d’ARK2 pourrait jouer un rôle majeur pour sortir l’économie de la récession et sauver les marges des sociétés, alors que l’inflation cèdera la place à la déflation dans de nombreux secteurs.

Les récessions mobiles donnent à penser que la Fed devrait évaluer le bien-fondé des réductions de taux plus tôt que le suggèrent les graphiques. Malheureusement, la Fed continue de se concentrer sur les indicateurs à la traîne, comme les salaires et l’inflation globale. En effet, le Bureau of Labor Statistics (BLS) a revu à la baisse les statistiques sur les emplois non agricoles pour onze des treize derniers mois, ce qui laisse entendre que le marché de l’emploi serait moins vigoureux que ce qu’indiquent les rapports du gouvernement. La dernière fois que le BLS a revu à la baisse ses statistiques sur les emplois non agricoles pour une période aussi longue, c’était en 2007, quelques mois avant le début de la crise financière mondiale.

  • Le secteur de l’automobile a fait face à d’importants défis pendant la pandémie de COVID-19 et, même si les ventes ont connu une reprise en V en 2021, les ventes annualisées actuelles sont de l’ordre de 15,5 millions d’unités3, ce qui est bien en deçà des 17 à 18 millions d’unités vendues avant la pandémie3. Au début de celle-ci, l’automobile représentait environ le tiers de la flambée de l’inflation. Maintenant, le prix des voitures d’occasion a reculé de 15 % sur 12 mois, de 21 % par rapport au sommet des prix4.
  • Les données sur l’habitation, comme les prix médians, les mises en chantier et l’abordabilité, envoient également des signaux inquiétants. À 4,4 millions d’unités, le nombre de ventes de maisons existantes dépasse tout juste celui observé pour la dernière fois pendant la crise mondiale de l’habitation5. Les loyers des nouveaux locataires diminuent d’environ 4,6 % sur 12 mois6, un taux plus élevé que durant toute la crise financière de 2008-2009. En même temps, un nombre record d’appartements est en construction, ce qui laisse penser que la déflation des loyers poussera l’inflation en territoire bien plus faible que prévu au fil du temps.
  • Le revenu intérieur brut (RIB) réel, qui devrait être égal au PIB au fil du temps, donne à penser que l’économie est nettement plus faible que ce qui est suggéré par le produit intérieur brut (PIB) réel. L’écart presque record est d’environ 450 milliards de dollars7. De nombreux indicateurs de tendance mondiaux corroborent cette faiblesse, plusieurs signalant des baisses de revenus d’une année à l’autre au quatrième trimestre : 3M (-1,8 %), UPS (-7,8 %), Kraft-Heinz (-7,1 %), Exxon Mobil (-12,3 %), Thermo Fisher (-4,9 %), Home Depot (-2,9 %), Cisco (-5,9 %), Texas Instruments (-12,7 %). Autrement dit, l’Europe, le Royaume­Uni, le Japon et la Chine sont déjà en récession ou à la limite de la récession. 
  • Après avoir stimulé la rentabilité grâce à la hausse des prix pendant les goulots d’étranglement liés à la chaîne d’approvisionnement en 2021-2022, et de nouveau lorsque la croissance par unité a déçu en 2023, les sociétés semblent maintenant perdre leur pouvoir de fixation des prix, au détriment des marges bénéficiaires. Selon Bloomberg, la marge bénéficiaire brute de l’indice S&P 500 est passée de 34,8 % en moyenne au cours des cinq dernières années et de 34,6 % au quatrième trimestre de 2022 à 33,5 %, au quatrième trimestre de 2023. À notre avis, ce recul s’intensifiera jusqu’à ce que la Fed réduise fortement les taux d’intérêt et à moins que les sociétés n’exploitent énergiquement l’innovation comme l’intelligence artificielle, non seulement pour stimuler la croissance de la productivité, mais aussi pour créer de nouveaux produits et services qui remplacent les anciennes solutions. Dans l’intervalle, afin de limiter les dommages causés aux marges, les sociétés qui ont retenu leurs employés pendant la pénurie de main-d’œuvre de l’après-COVID devraient les mettre à pied l’année prochaine – et réduire le taux de croissance des salaires – ce qui atténuera encore les inquiétudes de la Fed au sujet de l’inflation sous-jacente. Par conséquent, la consommation nominale pourrait reculer sous les récents points faibles associés à l’habitation, à l’automobile et à d’autres gros achats, ce qui entraînerait d’autres réductions de prix et une compression des marges.
  • L’indice d’optimisme des petites entreprises des États-Unis se trouve en territoire de récession, pire qu’au moment de la récession provoquée par la COVID-19 et la crise de l’épargne et des prêts, et au début de la crise financière mondiale8.
  • La croissance de la masse monétaire M29 est en baisse de 1,7 % sur 12 mois, un taux jamais vu depuis les années 193010. Les baisses séquentielles semblaient naturelles après la hausse liée à la COVID-19, mais une faiblesse persistante pourrait indiquer une récession. De plus, étant donné que la hausse des taux hypothécaires a piégé les propriétaires dans leur maison, la vitesse de circulation de la monnaie semble ralentir et pourrait exacerber le déclin de la masse monétaire M2, en augmentant les probabilités d’une déflation généralisée des prix. 
  • Le ratio de l’indice des prix des métaux du Commodity Research Bureau (CRB) par rapport à l’indice des prix de l’or est en baisse et proche des creux enregistrés pendant la crise financière mondiale de 2008­2009. Depuis la crise financière mondiale et jusqu’à l’année dernière, ce ratio était étroitement corrélé aux taux d’intérêt à long terme. Si cette relation devait revenir à la normale, les taux d’intérêt pourraient s’effondrer, ou bien les prix des métaux pourraient augmenter considérablement, ou une combinaison des deux. 

Alors que la Fed cherche à étouffer l’inflation avec des taux d’intérêt élevés, le marché obligataire envoie un signal que des difficultés sont à venir. De mars 2021 à juillet 2023, la courbe des taux11 s’est inversée, passant de +159 points de base à -108 points de base12, l’inversion la plus forte depuis le début des années 1980, lorsque la Fed luttait contre une inflation à deux chiffres. Depuis juillet 2023, la courbe des taux est entrée dans une phase de réaccentuation de la courbe à la baisse, les taux à long terme augmentant par rapport aux taux à court terme, réduisant l’inversion à -39 points de base13 et donnant à penser que les attentes quant à la croissance réelle et à l’inflation pourraient être déçues. La Réserve fédérale a commencé à augmenter les taux d’intérêt lorsque l’indice des prix à la consommation (IPC) sur 12 mois, un indicateur témoin économique, a atteint 8,5 % sur 12 mois en mars 2022. Peu de temps après, une poussée inflationniste influencée par les pressions géopolitiques et l’accumulation de stocks a atteint un sommet de 9,1 % sur 12 mois. Depuis, l’inflation mesurée par l’IPC a baissé à 3,2 %14, grâce à diverses forces déflationnistes – bonnes, mauvaises et cycliques.

Le taux cible des fonds fédéraux a été multiplié par 24 en un peu plus d’un an. Les ramifications déflationnistes de la politique actuelle de la Fed se voient déjà dans les faillites du segment de l’immobilier commercial, dans les secteurs des immeubles de bureaux et de l’immobilier multifamilial, et pourraient déboucher sur une autre série de faillites de banques régionales. Si la banque centrale réduisait alors les taux d’intérêt, les sociétés qui sacrifient leur rentabilité à court terme pour investir et potentiellement tirer parti des occasions de croissance super exponentielle offertes par la technologie en seraient les principales bénéficiaires.

Elle a suspendu ses mesures de resserrement l’été dernier. En même temps, dans le domaine des technologies, ChatGPT a commencé à rendre plus excitantes les percées apparemment miracles qui devraient faire pencher la balance encore plus du côté de la déflation généralisée. Bien que la destruction créative – la transition des véhicules à essence aux véhicules électriques, par exemple – puisse masquer l’essor associé à l’IA et à d’autres technologies perturbatrices qui évoluent aujourd’hui, les vagues de croissance associées à la convergence des 14 technologies participant à nos cinq grandes plateformes (robotique, stockage d’énergie, intelligence artificielle, technologie de chaîne de blocs et le séquençage multiomique) devraient commencer à faire bouger les choses sur le plan macroéconomique de plus en plus et de façon significative au cours des cinq à dix prochaines années.

À notre avis, l’histoire montrera que l’inflation, initialement déclenchée par les chocs de l’offre, était temporaire et qu’elle s’est transformée en désinflation, puis en déflation. Par conséquent, il est probable que les attentes quant aux taux d’intérêt soient déçues, en élargissant la remontée boursière de l’an dernier au-delà d’un sous-ensemble restreint d’actions.

Commentaires sur le fonds :

Pacific Biosciences (PACB) et Ginkgo Bioworks Holdings (DNA) comptent parmi les titres qui ont le plus nui au rendement d’ARKG. Les actions de Pacific Biosciences ont été négociées à la baisse après l’annonce préalable des résultats du quatrième trimestre de la société, y compris des ventes de séquenceurs meilleures que prévu, mais des résultats inférieurs aux attentes pour les produits de consommation plus rentables – une asymétrie à court terme, à notre avis. Les actions de Ginkgo Bioworks se sont dépréciées après que la société eut déclaré au quatrième trimestre des bénéfices qui n’ont pas été à la hauteur des prévisions et des attentes en matière de chiffre d’affaires. Le segment d’ingénierie cellulaire de Ginkgo a ajouté 78 nouveaux programmes cellulaires en 2023, en hausse de 32 % par rapport à la période de l’exercice précédent, et ses revenus, à l’exclusion des revenus liés aux actions de valeur en aval, ont augmenté de 31 % sur 12 mois. 

Les titres de Beam Therapeutics (BEAM) et Nurix Therapeutics (NRIX) ont été parmi ceux qui ont le plus contribué au rendement. L’action de Beam Therapeutics s’est redressée après que la société eut annoncé des résultats pour le quatrième trimestre et pour l’ensemble de l’année. Grâce en grande partie aux paiements d’Eli Lilly à Beam Therapeutics pour les droits de participation aux programmes de thérapie génique pour les maladies cardiovasculaires de Verve Therapeutics, le bénéfice net de la société est passé de pertes à profits. Les actions de Nurix Therapeutics se sont redressées en prévision de la présentation de la société à l’assemblée annuelle de l’American Association for Cancer Research (AACR), au cours de laquelle la direction présentera des mises à jour sur le NX-5948, sa nouvelle approche ciblant la tyrosine kinase de Bruton (BTK) pour traiter les cancers des cellules B récurrents ou réfractaires.

Construction du portefeuille*

Les pondérations peuvent changer. 

Dix principaux titres

Pondération

EXACT SCIENCES CORP.

6,91 %

PACIFIC BIOSCIENCES OF CALIF

6,44 %

TWIST BIOSCIENCE CORP.

5,71 %

CRISPR THERAPEUTICS AG

5,14 %

SCHRODINGER INC.

4,35 %

GINKGO BIOWORKS HOLDINGS INC.

4,17 %

IONIS PHARMACEUTICALS, INC.

4,05 %

TELADOC HEALTH INC.

3,98 %

RECURSION PHARMACEUTICALS, CAT. A

3,80 %

CAREDX INC.

3,64 %

48,19 %


Capitalisation boursièreComposition du portefeuilleSecteurs
Capitalisation boursièreComposition du portefeuilleSecteurs
  • Méga (plus de 100 G$) 5,23 %
  • Grande (de 10 à 100 G$) 15,09 %
  • Moyenne (de 2 à 10 G$) 47,51 %
  • Petite (de 300 M$ à 2 G$) 30,94 %
  • Micro (de 50 à 300 M$) 1,24 %
  • Thérapies de précision 40,71 %
  • Technologies multiomiques 32,30 %
  • Biologie programmable 9,68 %
  • Réseaux neuronaux 7,18 %
  • Infonuagique de prochaine génération 5,87 %
  • Robotique adaptative 2,21 %
  • Appareils intelligents 1,89 %
  • Mobilité autonome 0,16 %
  • Cryptomonnaies 0,00 %
  • Contrats intelligents 0,00 %
  • Portefeuilles numériques 0,00 %
  • Technologies de batteries avancées 0,00 %
  • Fusées réutilisables 0,00 %
  • Impression en 3D 0,00 %
  • Santé 92,30 %
  • Technologies de l’information 4,02 %
  • Matières premières 3,67 %

Construction du portefeuille au 30 mars 2024.

Biographie de la directrice de portefeuille

Catherine « Cathie » D. Wood

Cathie a inscrit ARK Investment Management LLC (ARK) à titre de conseillère en placement auprès de la U.S. Securities and Exchange Commission en janvier 2014. Cathie, qui compte plus de 40 ans d’expérience en recherche et en investissement dans l’innovation, a fondé ARK afin de se concentrer exclusivement sur l’innovation de rupture et l’ajout de nouvelles dimensions à la recherche. Grâce à une approche ouverte recoupant les secteurs, les capitalisations boursières et les régions, Cathie croit qu’ARK peut repérer sur les marchés publics des occasions de placement à grande échelle découlant d’innovations technologiques axées sur le séquençage de l’ADN, la robotique, l’intelligence artificielle, le stockage d’énergie et la technologie de la chaîne de blocs. En tant que chef des placements et directrice de portefeuille, Cathie dirige l’élaboration de la philosophie et de la méthode de placement d’ARK et est l’ultime responsable des décisions de placement.

Avant de se joindre à ARK, Cathie a passé douze ans à AllianceBernstein à titre de chef des placements en matière de stratégies thématiques mondiales, où elle a géré plus de 5 milliards de dollars. Cathie s’est jointe à Alliance Capital depuis Tupelo Capital Management, un fonds de couverture qu’elle a cofondé, et qui gérait environ 800 millions de dollars en stratégies thématiques mondiales en 2000. Avant d’entrer au service de Tupelo Capital, elle a travaillé pendant 18 ans chez Jennison Associates LLC à titre d’économiste en chef, d’analyste de recherche sur les actions, de directrice de portefeuille et de directrice générale. Elle a commencé sa carrière à Los Angeles, en Californie, au sein de The Capital Group à titre d’économiste adjointe. Cathie a obtenu en 1981 un baccalauréat ès sciences (avec très grande distinction) en finance et en économie auprès de l’Université de la Californie du Sud.

En 2018, Cathie a lancé le Duddy Innovation Center of Excellence à son alma mater, l’Académie Notre-Dame à Los Angeles. L’Institut offre une expérience de formation stimulante aux jeunes femmes qui souhaitent élargir leur apprentissage au-delà des limites de l’acquisition traditionnelle du savoir, tout en influençant une nouvelle façon de penser et d’apprendre partout sur le campus.

1 Selon l’indice S&P 500 et l’indice MSCI Monde.

2 Les cinq plateformes d’innovation d’ARK sont l’intelligence artificielle, la robotique, le stockage d’énergie, le séquençage multiomique et la technologie de la chaîne de blocs.

3 Groupe automobile WARD. Données au 31 mars 2024.

4 Indice de valeur des véhicules d’occasion de Manheim. Données au 31 mars 2024.

5 National Associate of Realtors. Données au 29 février 2024.

6 U.S. Bureau of Labor Statistics. Données au 31 décembre 2024.

7 Données économiques de la Réserve fédérale américaine en date de décembre 2024. Le PIB est la valeur marchande totale de tous les produits finis et services produits à l’intérieur des frontières d’un pays au cours d’une période donnée, habituellement un an. Le RIB est une mesure du revenu total généré par l’économie d’un pays au cours d’une période donnée, habituellement un an.

8 National Federation of Independent Business. Données en date de mars 2024.

9 La masse monétaire M2 est une mesure de la masse monétaire américaine qui comprend la masse monétaire M1 (billets et pièces détenus par le public non bancaire, les dépôts accessibles par chèque et les chèques de voyage) plus les dépôts d’épargne (y compris les comptes de dépôt du marché monétaire), les petits dépôts à terme de moins de 100 000 $ et les actions de fonds d’investissement du marché monétaire de détail.

10 Données économiques de la Réserve fédérale américaine de janvier 1960 à décembre 2023. La masse monétaire M2 avant 1960 est calculée en additionnant les devises détenues par le public, les dépôts rajustés des banques commerciales, les chambres fortes des banques, les actions aurifères monétaires et les dépôts dans des institutions d’épargne non bancaires.

11 Mesurée par l’écart entre les taux des obligations du Trésor à 10 ans et ceux des obligations du Trésor à 2 ans.

12 Une « inversion » signifie que le taux des obligations du Trésor à long terme est inférieur à celui des obligations du Trésor à court terme. L’écart de taux était de 159 points de base le 29 mars 2021 et de -108 points de base le 3 juillet 2023. Un point de base correspond à 1/100 d’un point de pourcentage, soit 0,01 %.

13 La différence de rendement était de -39 points de base le 28 mars 2024.

14 U.S. Bureau of Labor Statistics. Données au 29 février 2024.

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